Le Peraâ (PRÂ) issu du terme pharaon (de l’Égypte ancien : per-aâ « grande maison ») est une cryptomonnaie autrement appelée monnaie cryptographique. Dans son cas de lancement il est un token (jeton) à la dénomination unitaire s’écrivant « Peraâ », et dans le cas du système de paiement en ligne e-commerce, il existe également sous une autre appellation dit « Peraâ Ishara » (en cours de projet). L’idée fut présentée pour la première fois, et ce dans plus grand secret en avril 2022 par une personne, sous le pseudonyme de Nyeri Kamasahka. Le token peraâ  est adossé au Waves qui est une crypto-monnaie basée sur la preuve d’enjeu. L’équipe de développement de Waves gère la plateforme d’échange décentralisée à code source libre Waves.exchange. L’objectif est de créer une souveraineté monétaire & économique de premier plan pour les détenteurs/-trices du peraâ en vue d’une émergence étatique  nouvelle sur le monde (via la plateforme d’échange décentralisée Waves.exchange), celle des États-Unis d’Afrique Subsaharienne (EUAS), afin que les euasiens/-iennes (citoyenneté nouvelle des africaines & africains subsahariens des États-Unis d’Afrique subsaharienne) puissent :

˃ s’établir au cœur d’un système décentralisé et pair-à-pair afin d’échanger de la valeur monétaire en s’affranchissant de tout organisme tiers, tel que les institutions financières.

˃ se doter d’un nouveau modèle économique à impact social positif  pour l’ensemble du continent noire, améliorant la qualité de vie des personnes, de l’entreprenariat, et contribuant au développement économique, social et environnemental du territoire nationale.

˃ se projeter dans la continuité de ses engagements pour une économie inclusive, le peraâ se voulant être la première devise africaine synonyme de nouveau modèle économique visant un impact renforcé en termes d’employabilité, de santé par l’alimentation et de cohésion sociale au cœur de chaque états des EUAS constitués des villes & quartiers à forte concentration. 

˃ s’affranchir à court ou moyen terme du terme « crypto-actif » selon les dires récents du G20, pour en faire une monnaie fiduciaire de référence comprenant les pièces modernes et les billets de banques. Ce terme « crypto-actif » désignant « des actifs virtuels stockés sur un support électronique permettant à une communauté d’utilisateurs les acceptant en paiement de réaliser des transactions sans avoir à recourir à la monnaie légale ».