Introduction : Maudites soient les démocraties !
Les choses n’ont guère changé. Nous parlerons aujourd’hui des pouvoirs actuels qui tôt ou tard ne pourront plus régner ; nous parlerons aujourd’hui des gouvernances non-exemplaires qui s’éparpillent aux noms des intérêts, la matière des dangers. Nous parlerons toutefois de l’espérance humaine revue à la baisse ; et nous parlerons bien évidemment des éléments constitutionnels qui ne méritent aucun débat.
Capvt Nigrvm Idealismo Ministerivm rapporte que chaque diplomate « banksters » se préoccupent plus des intérêts de sa nation que d’une structure commune s’acquittant généralement des démonstrations judici-aires extraordinaires, prouvant l’immunité monocratique à pied d’œuvre, et ce, accordé en totale contradiction des valeurs de notre époque, de nos libertés, de notre humanité. Un prélèvement à la source, d’apaisant parfois, mais d’insidieux, toujours […] le terme d’une vie effilée comme seule exactitude des cruautés définissant les « droits & les devoirs » comme quelque chose d’effroyable, d’insupportable ; un disfonctionnement dont le caractère tyrannique se voile la face, quand on sait des divers gouvernances maladroites, qu’elles sont investigatrices des reformes apolitiques visant une « socialisation égorgée » soit une entité primitive en mal d’amour, de biens, de services, entrant dans le cadre d’un abaissement de l’intérêt général, planétaire, soutenant exclusivement le culte des « Voleurs dans la loi ».
Après tout, la politique est le moyen occulte de se faire entendre sans pour autant perdre la raison. Soit ! Il n’y a plus de règles, et la raison n’est hélas plus de notre époque, plus de notre temps, mais nullement de nos derniers jours.
Voici donc pour nous, peuple des premiers pas de l’humanité auquel je crois, la Convention de Lamesset qui est nôtre et à laquelle nous croyons son préambule actant l’avènement de la Constitution des États-Unis d’Afrique Subsaharienne également appelée l’« Harmonieuse », et ce, au nom de la Concordance Rétablissante Établie.
Avec tout mon idéalisme,
Lamesset
Loi mal éprise, la Justice n’oublie jamais
que nous le peuple des premiers pas de l’humanité, veillons :I. Le Cœur,
des uns semblables à celui de ses hôtes que nul ne peut pourfendre la considération divine auquel cas se verrait en ce tambour battant si peu triomphant du devenir de la patrie, ô combien une menace manifeste en proie à plus d’irrégularités du sentiment céleste & étoilé à hauteur des hommes.
II. La Nature
« légitime », source des présences humaines sur la terre abritant l’esprit de Dieu, et qui ne craint pas l’homme opiniâtre car antérieure et postérieure à cet être de poussière, dont l’unique charme de la sagesse abrite moult contrefaçons, les besoins du pauvret homme, mais qui ne doivent jamais dépasser l’entendement.
En cela, nous le premier peuple des premiers pas de l’humanité, puissions-nous être éligible à nombre de ses virulences insidieuses.
Face à elle, s’impose le respect de sa quintessence traduisant sa loyauté en notre encontre mais davantage notre teneur en vie enclin à toujours plus d’idéalisme.
III. Le Matriarcat
(pour le prochain), perle des fautes avouées comme inavouées propres aux citoyens/-ennes foulant nos états, notre terre, seront toutes à moitié voire pleinement pardonnées selon la grâce des pucelles vivants au sein de nombreux villages arborant nos contrées, nos frontières, nos défenses, nos courages, et qui demeurent en excès à la seule charge des époux infiniment remerciés d’être disposés à donner des joies & des sourires à la Féminité dans toute sa splendeur et majestuosité filant la parfaite harmonie volontariste de Dieu au commencement des temps, soit le supposé symposium à toute femme desdits états d’Afrique subsaharienne, seront vénérées en tout temps et en tous lieux puisque détentrices divines de la nativité par ÈVE, la première des premières du filament fondateur, celui qui peut transmettre la vie, la vraie en ces termes : En nos terres comme sur toute la Terre, la Femme a droit de raison et de compassion sur l’homme qui traduit la teneur en vie des Idéalistes.
IV. La Raison,
philosophie suprême de notre moralocratie portée essentiellement sur la mise en garde d’états malveillants en ce qui caractérise le respect de l’ »Harmonie naturelle des Hommes & de la Terre », soit l’humanisation d’une société opportune qui se fait apte à la dérégulation étatiques & judiciaires, et qui se voudraient être trop à l’écart de la raison propre ; en quoi, elle sera sanctionnée et taxée de « Cité Hors-Humanité » (CHH), sachant que la liberté est à l’essor d’un recul de connivence par la faute ; c’est la preuve qu’une faute engage sa rectification.
V. La Protection
mutuelle & pacifiste « utile » au moindre risque prolifère d’après la sûreté excessive de nos concitoyens en rudiment technique du drame ; ce qui prédit toujours son coup d’avance.
Nul art de la guerre ne peut se faire le déséquilibre permanent d’une nation souveraine, libre et indépendante, et à plus forte raison de tout ce qui peut advenir de ses villes et provinces éloignées se tiennent au Garde à vous passif à l’égard de la capitale aux ordres de l’accalmie ; à quoi, la moindre de ses frappes défensives propices voire à venir font foi d’une réalité « confiante » pathétique sans pareilles mesures, pourvue elle du coup d’une attaque coloniale.
Nous le peuple des premiers pas de l’humanité, sommes les nouveau-nés d’un monde sans fin dont le moindre de ses lieux veille à la fuite, à l’abandon, mais encore, à la capitulation formelle de celui, celle et ceux qui frappent par l’épée périront par l’épée siégeant en leur sein maternelle en ces termes : Chaque saison sont en proies à plus de rançons habiles qui perdront vie en récalcitrances présentes au présent (l’impropre de ses accesseurs aux divers talents fragiles au nom de la nostalgie) pour un passé éphémère puisqu’éligible aux tribulations futuristes qui arriveront à leurs fins non chez les pères & les fils, mais chez les petit-fils & arrière-petit-fils dont seul le repentir prévaut leur innocence.
VI. Le Labeur,
une seule et même entreprise qui ne peut faire office d’un affichage de doutes. Sa ferveur grandissante est en nos terres un lien social rigoureux aux bienfaits salariaux rendant profits & partages égalitaires dans la parité ; il en va de son surdéveloppement.
Son expansion ne doit se traduire que par la priorité de rendre service aux laborieux d’ici, et d’ailleurs, non à la recette qu’elle jugera bon de redistribuer en cas d’échec.
C’est par la constance établie d’une réserve de dividendes sous scellés et interdits d’être sur la sellette qui garantit le maintien des salariés en ces termes : Le patron du patron est son employé.
VII. Le Savoir,
la plume d’oiseaux des écrivains, pour but d’un seul et même idéalisme animant chaque sujet traité en conspiration qu’on abattrait d’un seul trait, en quelques coups de jets d’encre.
Chose qui traduit de nos terres tous ses ouvrages à la somme d’un combat ; la défaite des paroles qui s’envolent au gré du vent déterminantes des nombreuses victoires qui s’écrivent à l’infini du plus grand des récits en ces termes : C’est juste chose pour la noble cause d’écrits combatifs ! Telle sera la prouesse de nos écritures à première vue.
VIII. La Vérité
telle la Justice de Paix clamant sa bonne foi en tout temps et en tous lieux d’un monde enclin à toujours plus de bienfaits et méfaits imprescriptibles selon notre code pénal, ladite Concordance Rétablissante Établie (CRE), parfait pamphlet idéaliste bravant les malversations étatiques & judiciaires des hommes et des états ennemis de l’humanité en salutation de leur barbarie.
Ce qui revient à dire de la Vérité sur la Terre comme dans le ciel qu’elle est libre, justifiée et bienvenue en ces termes : Ce qui vaut pour un homme, vaut pour un état.
IX. L’Harmonie
de notre Terre toujours en justesse d’une préposition divine & céleste ; jurons sur la grâce idéaliste de notre père, nous le peuple des premiers pas de l’humanité en liaison directe d’un monde renouvelé puisque régulé selon nos attributions concordantes, rétablissantes et établies, la part étatique de notre profond respect à l’égard des innombrables mers et océans entourant les monts et les merveilles de notre mère-patrie l’Afrique, brillamment ornée de son paysage culturel, notamment spirituel, à la charge unique du libre-arbitre humain qui est nôtre, émane en nos terres de somptueux habitants relevant le défi testamentaire terrien de toutes ses sauvegardes.
C’est en cela que notre humanisation n’en sera que renforcée.
X. Le Partage,
soit l’art de vivre l’idée citoyenne, symbolique, continue, des uns rattachés des autres vivant au sein d’un état souverain, libre et indépendant, souscrivent à toutes sortes d’élans de générosité que l’état réaffirme tant la filiation ; celle qui consiste à rendre sur l’ensemble du territoire national le parfait équilibre entre les individus, en toutes situations légitimes soient-elles, au fait d’être les seuls garants de l’état mais davantage de son statut moralocratique humain et inaliénable.
Le droit de compassion citoyenne, toujours de plein gré faut-il le souligner, doit susciter sur celui, celle est ceux qui n’ont pas, un droit d’impériosité affective sur les plus démunis d’entre eux, qui à leur tour feront leur quête rédemptrice traversant nos dits état, au seul profit des hommes et des femmes bafouées impunément, déconsidérées au plus profond de leur chair, puissent-ils retrouver le goût de la vie, la sagesse de notre humanisation retrouvée en ces termes : La vie comblée & méritante défend coûte que coûte la charge sociale nauséabonde provoquée ou non, intimiste ou dévoilée sur la place publique, mais plus que jamais privilégié d’être au sein de notre paradigme moralocratique donc à l’unique devoir d’exister voire de réexister pour soi-même puis pour les autres, par nous autres idéalistes aux sains cœurs enchevêtrés.
XI. Le Sacrifice
de l’homme et du citoyen demeure telle l’immortalité « juste & équitable » de la patrie dont la vie révèle le sens divin & idéaliste qui n’est nulle autre que sa combinaison parfaite à une mort certaine en ces termes nourries de sagesse : Au grand dam de la patrie, Ave humbles citoyens !
En vertu des 11 idéaux de la nation,
la proclamation juste & sincère du Peuple états-unien d’Afrique subsaharienne réaffirme :
Pour garantir ses droits inaliénables et imprescriptibles à l’infini dans le temps;
Pour constituer sa souveraineté moralocratiquement libre et économiquement indépendante ;
Pour porter la promesse citoyenne du monde humaniste, forte et influente, représentative du tout individu ;
le chef de la nation devra prêter serment sur la prêtrise de Lamesset devant ses concitoyens, jurant de s’établir idéaliste lors de la cérémonie d’investiture en vue d’attester la véracité de ses faits, la sincérité d’une promesse, l’engagement d’une quête idéaliste diplomatique veillant le respect, le grand soin des devoirs de la fonction présidentielle dès sa nomination à la Présidence des États-Unis d’Afrique Subsaharienne (EUAS).
Le chef de la nation prononcera à chaque fin de discours la citation Lamessetienne « Au grand dam de la patrie, Ave humbles citoyens ! », prouvant ainsi l’humilité de l’homme soumis à la Justice de Paix du Seigneur Dieu Tout-puissant.
Élu au suffrage légitime & universel, il est le garant d’un mandat présidentiel à deux vitesses : Celui incarnant la représentation humble de toute l’humanité, tout en maintenant sa prise de pouvoir sur le constat du monde ne se limitant guère de ses multiples frontières informelles ; régissant chemin faisant plus de pensées d’écritures en lois solutionnaires.
Telle est la fonction moralocrato-présidentielle Euasienne ayant pour vocation l’ »Afrique apporte l’Humanisation » au bon périple de notre société.
Fait au domicile de Mr Luc Montreuil situé rue Franciade à Saint-Denis en France, le 9 juillet deux mil dix-huit,
la Dix-huitième année en ce début de XXIème siècle.
Signé, Lamesset.
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