Les choses n’ont guère changé…
Nous États-Unis d’Afrique Subsaharienne, parlerons aujourd’hui des pouvoirs actuels qui tôt ou tard ne pourront plus régner. Nous États-Unis d’Afrique Subsaharienne, parlerons aujourd’hui des gouvernances non-exemplaires qui s’éparpillent aux noms des intérêts, la matière de tous les dangers. Nous États-Unis d’Afrique Subsaharienne, parlerons toutefois de l’espérance humaine revue à la baisse selon les éléments constitutionnels de notre temps qui ne méritent aucun débat.
Les États-Unis d’Afrique Subsaharienne rapportent que chaque diplomaties connues à ce jour qu’on peut qualifier de « banksters » se préoccupent plus des intérêts de sa nation que d’une structure commune s’acquittant généralement des démonstrations judiciaires extraordinaires, prouvant l’immunité monocratique à pied d’œuvre, et ce accordée en totale contradiction des valeurs de notre époque, de nos libertés, de notre humanité. Un prélèvement à la source, d’apaisant parfois, mais d’insidieux toujours […], soit le terme d’une vie effilée comme seule exactitude des cruautés définissant les « droits & les devoirs » comme quelque chose d’effroyable, d’insupportable ; un dysfonctionnement dont le caractère tyrannique se voile la face, quand on sait des divers gouvernances maladroites qu’elles sont investigatrices des reformes apolitiques visant une « socialisation égorgée », soit une entité primitive en mal d’amour, des biens & des services entrant dans le cadre d’un abaissement de l’intérêt général, planétaire soutenant exclusivement le culte des « Voleurs dans la loi ».
Après tout, la politique est le moyen occulte de se faire entendre sans pour autant perdre la raison. Soit ! Il n’y a plus de règles, et la raison n’est hélas plus de notre époque, plus de notre temps, mais nullement de nos derniers jours.
Voici donc pour nous, États-Unis d’Afrique Subsaharienne, synonyme de peuple des premiers pas de l’humanité auquel je crois, la création étatico-fédérale nouvelle qui est la nôtre et à laquelle nous croyons l’idéal commun selon l’harmonie naturelle des hommes et de la Terre.
Avec tout mon panafridéalisme africain, Hotep !
-Nyeri Kamasahka-